Contexte scientifique
L’estimation de la durée de vie résiduelle (DVR) des structures métalliques est un enjeu majeur de nombreux secteurs industriels pour des raisons sécuritaires, économiques et/ou écologiques. Dans le souci de proposer des programmes de maintenance optimisés ou de faire évoluer les conceptions vers des structures à la fiabilité améliorée, il apparait nécessaire de disposer d’outils numériques prédictifs permettant d’évaluer l’amorçage et la
propagation de fissures sous sollicitations de fatigue en service.